lundi 27 août 2012

Une nuit a la plage!

Il était 3 heures du matin. J’étais a ‘’El hamra’’ pour consumer la dernière heure de la nuit. J’étais tels dans un lit de plancton. Ils étaient des milliers de minuscules être vivants de différentes tailles et de différents aspects qui nageaient tout autour de moi. Et bien que ils n’étaient pas tous agiles, ils brillaient dans l’entonnoir que créait la lampe torche. Pendant cette dernière heure de la nuit, il était si enchantant de regarder ce spectacle créé par un petit fuseau de lumière plongeant dans l’eau inerte et vigoureuse de ‘’el Hamra’’. Par cette nuit décorée d’une symphonie d’étoile, j’ai côtoyé les petits poissons égarés vers le rivage, j’ai me suis allongé dans les draps rafraichissantes et relaxantes de notre mer bleu, et je me suis essayé a l’obscurité total et angoissante de ses entrailles. Puis l’appel à la prière se fraya son chemin dans le silence de l’endroit. Le soleil est désormais sur les portes. La lumière viendrait à grand galope envahir le cimetière. Et puis, une malédiction s’est jetée progressivement sur l’endroit. J’ai vu les poissons fuyant l’odeur nauséabonde des bateaux de pèche a moteur. J’ai vu que non loin de moi, il y avait des barrières de filets tueuses. Et le soleil grimpant a mis en évidence la présence, un petit peu partout, de saletés, de canettes vides et déchets en plastique. Je compris alors que bien que dieu tout-puissant nous a gracieusement offert un petit bout de paradis, nous l’avons refusé, et nous nous sommes mis à le détruire méthodiquement. Je me suis, aussi, rendu compte que au début l’endroit me paraissait merveilleux, car je faisais comme quelqu’un qui, assis dans une poubelle, se couvrait le nez dans une belle rose tout en se disant ‘’quel merveilleux champs’’. Mais, dorénavant ca va changer ! Je vais affronter la triste réalité de ma petite ville. Je vais dire non à l’égoïsme régnant ! Et je vais bousculer le laisser-aller. Et n’importe si je dois mener tout seul ce combat! Au moins j’aurai moins de remords quand ma fille, une fois grande, me regardera dans les yeux et me demandera des comptes sur son héritage environnemental, et de se que j’ai fais de la nature que m’a légué mes antécédents. Si vous aussi, vous voulez défendre votre ville, alors joignez vous à moi. Et inscrivait-vous a notre facebook group.

dimanche 25 avril 2010

Le Piano


En début du siècle précédent, il était une fois dans un contré lointain, un petit village de pèche sur une falaise au bord de l'océan. Ses habitants vivaient presque exclusivement du commerce des poissons. L'endroit était très souvent venteux, et les vagues assez dangereuse pour dissuader même les plus courageux. Du coup, presque la moitie de l'année, les pécheurs restaient sur le continent à siroter du café ou a aller a l'église.

Celle-ci était non seulement un endroit de prière et de prêche, elle permettait aussi aux villageois de se rencontrer et de parler entre eux sur les bancs entourant le vieux bâtiment.

Le maitre des lieux était un vieux prêtre originaire du village. Il se consacrait complètement à son devoir religieux ainsi qu'a l'entretien de l’endroit saint.

Un jour, un étranger entra l'église et demanda du travail au prêtre, contre le jute et le foin. Ce dernier immédiatement vu que le jeune homme était loin d’être pieux, il l'accepta quand même dans l'espérance d’à arriver à le remettre au droit chemin. Il a surtout pensé à son propre état de santé qui ne lui permettait plus de s'occuper convenablement de l'entretien du bâtiment.

Les villageois ont découvert, petit à petit, le nouveau gardien de l'église. Ils ont rapidement apprécié la nette amélioration dans la propreté des chaises et des vitres. Tout le monde a aimé aussi le voir entreprendre des réparations par ci et par là, embellissant ainsi l'endroit. Et malgré son air mystérieux, ils ont vu en lui un bosseur sérieux et habile.

Un jour, en essayant de nettoyer le bâtiment auxiliaire derrière l'église, le jeune homme est tombé sur un vieux piano droit et noir. Il était intégralement recouvert de poussière et de vieux trucs. Mais il semblait toutefois en bonne état. Le jeune homme souleva le couvercle et toucha le clavier. Un son sourd se dégagea alors et un nuage de poussière se leva de derrière.

Le gardien s’y connaissait apparemment très bien en instruments polyphoniques. Il entama immédiatement des longs travaux de restauration. Il a refait les cordes métalliques. Il a dégagé les doigts bloques. Il a vérifié le pédalier. Il a ajusté les mécanismes. Il a astiqué intégralement la carcasse. Et voilà donc un très beau piano aussi imposant qu'élégant.

Le jeune homme commença alors à passer son temps libre en jouant différent partitions. Jour après jour, le son du piano s'améliora, pour le bonheur du jeune homme, comme par gratitude envers son attention.

Le vieux prêtre a était agréablement surpris de découvrir que le jeune homme était aussi un virtuose et qu’il a réussi à restaurer le vieux piano, ancien don d’une riche famille qui s’en sépara a la suite de la perte tragique de leur unique fille. Il demanda alors qu’on le remonte dans la salle de la messe afin qu'il puisse servir pendant les événements religieux.

Ce nouveau membre permanent de la messe bouleversa un peu sa monotonie. Du coup, la fréquentation a considérablement augmentée. Le jeune homme et son piano ont devenu le sujet de discussion de tout le village.
Quelques semaines plus tard et après l’aval du prêtre, le jeune homme commença à jouer en publique autre chose que la musique religieuse, pendant les soirées d’été. Une petite scène dans la cour devant l’église fut alors aménagée. Les villageois venaient chaque soir en tenue festive assister à une prestation en live. Le pianiste leur jouait une grande variété de musique. Du Chopin, du Beethoven, du Mozart, du jazz, de la musique légère ou assez rythme. Il invitait assez souvent, aussi, les filles ou les dames à s'assoir a coté de lui quand il jouait. Certaines filles s’essayaient à l’accompagner en chant. Tout le monde est tombe sous le charme du jeune homme. Tout le monde est devenu fan du piano noir. Ce fut une petite lumière dans leur monotone misère. Le piano est devenu leur trésor de village à bien considérer et sauvegarder.

Seulement, en début d’automne et part un jour d'orage alors que le jeune homme était en dehors de l'église, une foudre a déchiré le ciel et a tombé pic sur lui.
Il rendit l’âme immédiatement.

Tout le village a été médusé par la nouvelle. Une longue période de deuil commença. Une déprime générale frappa tout le monde. Les gens ont devenu plus paresseux. La fréquentation de l'église a énormément chuté. Les jeunes de village ont boudé la pêche. Ils ont eu marre de la pauvreté et ne rêvaient plus que de partir vers le large chercher le bonheur ailleurs. Par moment, la vie est devenue insupportable pour presque tout le monde.

Sage comme il est, le vieux prêtre a vite compris le malaise des villageois. Avant la venu du pianiste, les gens du village était habitués a leurs vie et acceptaient leurs misère. Mais, ils ont trouvé dans les soirées musicales sous la claire de lune, une richesse et une valorisation de leur existence. Leurs fatigues guérissaient. Leurs âmes se nourrissaient. Leurs sens s'éveillaient. Seulement, après l'accident tragique, le manque de cette opium musical s'est rapidement fut sentir. Une seul solution, pensa le prêtre, embaucher un nouveau pianiste.

Il a fait faire donc des auditions dans le village a la recherche d'une nouvelle star, et il a recruté finalement un jeune homme originaire d'une famille modeste. Il était un grand rêveur, super sensible, mais avouant le, d'un caractère loin d'être trompé. Il savait jouer quelques partitions simples. Mais il ne dégageait aucune vie lorsqu'il se mettait derrière le piano. Il disait toujours ‘oui’ à tout ce qu'on lui demandait, quitte a répéter le même morceau plusieurs fois pendant une même soirée. Le prêtre lui a donné les notes musicales qu'utilisait l’ancien musicien. Mais le jeune homme les a trouvé difficiles et s’en est ennuyait rapidement. A la fin, il les a abandonnés pour toujours. Pire encore, il ne s'y connaissait pas en maintenance de piano et avait une peur bleu de l'endommager, du coup le son de l'appareil musical a commencé à se dégrader de plus en plus. Bien qu'il s'est rendu compte de ce phénomène, il n'a pas su quoi faire, et a préférer laisser la résolution du problème au temps. Et il avait raison.

Les spectateurs après un engouement soutenu au début, ont commencé à se lasser de cette musique monotone qui se répétait chaque soirée avec le même enchainement. Les filles du village ne se sentaient pas flatter de s'asseoir a cote de ce musicien lourd et silencieux. Et c’est ainsi qu’après seulement un mois, il n'y avait plus qu'une dizaine visiteur par soirée. Il n'y avait pratiquement plus de pourboire laissé pour le musicien. Ce dernier n'arrivait pas à comprendre ce qui se passait. Mais, le prêtre a était pleinement satisfait. Il a vu que finalement les villageois ont revenu a leurs vieilles habitudes d'autre fois. Ils ne se plaignaient plus de la misère et du mauvais temps. Bien que le sourire a quitté leurs visage, ils se sont résignés à supporter complètement leur destine. La fréquentation de la messe de dimanche a repris aussi bien qu’avant. Tout est redevenu presque normal.

Le musicien n'a rien vu en tout ca. Il a continué à ressortir le piano chaque soir et à jouer devant des bancs presque vides, et à se lamenter sur son sort. Il lui arrivait des fois même de laisser l'instrument sous les étoiles pour aller se coucher chez lui. L'état du piano ne faisait que de se détériorer jour après jours.

Une nuit, alors que le village dormait, un vieux vagabond qui passait dans les barrages, a était surpris de voir un piano dans le jardin entourant une vieille église. En toute curiosité, il y a pénétré et a mis la main sur le clavier pour se surprendre du son hideux que puisse dégager un piano aussi propre de l'extérieur. Il jeta alors un coup d'œil à l'intérieur et constata rapidement que la pédale était bloquée et qu'il y avait de la crasse sur les cordes métalliques. Il l'a alors rapidement répare. Et voici, qu’a peine 30 minutes plus tard, qu'il jouait dessus comme un chef

Il a commencé par quelques mélodies romantiques faciles. Puis il a plongea dans des partitions plus rythmées. Sa musique vacillait entre la joie, l’angoisse, l’ordre et la nonchalance.

Le musicien ne comprenait pas vraiment son inspiration. Il sentait une énergie qui se dégager du piano le poussant à jouer encore et encore. Par moments il a cru que les doigts s'enfonçaient tout seul.

La musique vibrait dans le ciel. Une magie flottait dans l'air. Le vieille homme s'est senti complètement déchainer et libre. Même ses improvisations sonnaient comme des parfaits chef d'œuvre. Par moments il avait eu des flashs complètement bizarres. Il y a vu un grand monsieur présentant un très beau piano noir à une jeune fille. Il a vu la jeune fille grandir tout en jouant dessus. Il a vu la jeune fille jouait pour un jeune homme, puis il les a vu jouaient ensemble. Pour ensuite revoir ce jeune homme, vieillissant, et jouant seul tout en larme. Il a vu le jeune homme se couper les veines touts en continuant à jouer et à regarder la photo d’une femme. Il a vu le piano offert à un prêtre, qui l’a mis dans une petite église. Il a vu un jeune homme réparer le piano avec amour et attention. Il a vu un jeune homme jouant dessus devant une petite foule église. Il a vu le jeune homme jouait pour une jeune femme a l’égard des yeux. Il a vu un couple faire l’amour devant une église, sous les draps de la nuit. Puis il a vu le piano a nouveau seul. Il a vu une jeune femme se jeter d’une falaise après avoir glisser sa main sur le bois noir de l’instrument. Puis il a vu le piano seul et encrassé.

Puis, il s’est vu lui-même, jouant sur le piano. Il s’est vu rajeunir. Il s’est vu pianiste populaire. Il s’est vu riche et arrogant. Il s’est vu ensuite entourer de femme de maitresses et d’enfants. Puis il s’est vu en prison, complètement seul et errant entre les villes.

Des flashs se bousculaient derrière ses yeux, alors que ses doigts sautillaient inconsciemment sur le clavier. Il a joué, joué, puis s'est endormi. Il s'est réveillé plus tard. Il a regardé le piano. Il s’est senti discuter avec le piano et comprendre ce qu’il lui disait. Et puis inconsciemment il est précipiter pour prendre un pied de biche métallique d’à coté de la porte de l’église, et puis, avec ses petite force de vieux, il s'est mis à marteler le piano.
Il frappa, frappa. Les débits de bois sautaient tout autour de lui. La carcasse s’effondrait petite a petit. Les câbles swinguaient dans un son cruel. Les doigts du piano quitte un a un le clavier déchiqueter.

A la fin, il n’en restait plus qu'une vieille épave par terre et plain de petits débris éparpillés par ci et par la. Il jeta alors un dernier regard plein de larmes sur le cadavre, puis laissa tombe le pied de biche. Et puis, il a, vite fait de quitter les lieus en se dirigeant vers l'extérieur du village. Il n'arrivait pas à comprendre ce qui s'est passé. Il a eu l'impression qu'une force inconnue l'a pousse a faire ce qu'il a fait. Il ne sentait néanmoins aucun remord. Il sentait qu'il a finalement fait quelque chose de bien.

Le prêtre, le gardien et les gens du village ont étaient médusés quand ils ont découvert le lendemain matin, le triste cadavre de bois. Ils se sont posés plein de questions. Ils se sont indignés que du vandalisme puisse toucher un bel instrument devant la maison de dieu. Ils ressemblèrent les morceaux du piano et les jetèrent derrière l'église. Puis ils ont retournée à leur vie monotone.

Le temps a passé et le village a oublié le piano et le jeune homme qui jouait dessus comme un chef. Ils ont oublié les après midi de printemps ou ils passaient des agréables moments musicaux.

Mais de temps en temps, le prêtre fredonnait des airs musicaux tristes dont il disait croire entendu une nuit d'hivers.

vendredi 27 novembre 2009

Easier To Run

It's easier to run
Replacing this pain with something numb
It's so much easier to go
Than face all this pain here all alone

Something has been taken from deep inside of me
The secret I've kept locked away no one can ever see
Wounds so deep they never show they never go away
Like moving pictures in my head for years and years they've played

(If I could change I would take back the pain I would)
(Retrace every wrong move that I made I would)
(If I could stand up and take the blame I would)
(If I could take all the shame to the grave I would)
(If I could change I would take back the pain I would)
(Retrace every wrong move that I made I would)
(If I could stand up and take the blame I would)
(I would take all my shame to the grave)

It's easier to run
Replacing this pain with something numb
It's so much easier to go
Than face all this pain here all alone

Sometimes I remember the darkness of my past
Bringing back these memories I wish I didn't have
Sometimes I think of letting go and never looking back
And never moving forward so there'd never be a past

(If I could change I would take back the pain I would)
(Retrace every wrong move that I made I would)
(If I could stand up and take the blame I would)
(If I could take all the shame to the grave I would)
(If I could change I would take back the pain I would)
(Retrace every wrong move that I made I would)
(If I could stand up and take the blame I would)
(I would take all my shame to the grave)

Just washing it aside
All of the helplessness inside
Pretending I don't feel misplaced
It's so much simpler than change

It's easier to run
Replacing this pain with something numb
It's so much easier to go
Than face all this pain here all alone

It's easier to run
(If I could change I would take back the pain I would)
(Retrace every wrong move that I made)
It's easier to go
(If I could change I would take back the pain I would)
(Retrace every wrong move that I made I would)
(If I could stand up and take the blame I would)
(I would take all my shame to the grave)

samedi 9 mai 2009

Romeo and Juliet


A lovestruck romeo sings a streetsus serenade
Laying everybody low with me a lovesong that he made
Finds a convenient streetlight steps out of the shade
Says something like you and me babe how about it ?

Juliet says hey its romeo you nearly gimme a heart attack
Hes underneath the window shes singing hey la my boyfriends back
You shouldnt come around here singing up at people like that
Anyway what you gonna do about it ?

Juliet the dice were loaded from the start
And I bet and you exploded in my heart
And I forget the movie song
When you wanna realise it was just that the time was wrong juliet ?

Come up on differents streets they both were streets of shame
Both dirty both mean yes and the dream was just the same
And I dreamed your dream for you and your dream is real
How can you look at me as if I was just another one of your deals ?

Where you can fall for chains of silver you can fall for chains of gold
You can fall for pretty strangers and the promises they hold
You promised me everything you promised me think and thin
Now you just says oh romeo yeah you know I used to have a scene with him

Juliet when we made love you used to cry
You said I love you like the stars
above Ill love you till I die
Theres a place for us you know the movie song
When you gonna realise it was just that the time was wrong juliet ?

I cant do the talk like they talk on tv
And I cant do a love song like the way its meant to be
I cant do everything but Id do anything for you
I cant do anything except be in love with you

And all I do is miss you and the way we used to be
All do is keep the beat and bad company
All I do is kiss you through the bars of a rhyme
Julie Id do the stars with you any time

Juliet when we made love you used to cry
You said I love you like the stars above Ill love you till I die
Theres a place for us you know the movie song
When you gonna realise it was just that the time was wrong juliet ?

A lovestruck romeo sings a streetsus serenade
Laying everybody low with me a lovesong that he made
Finds a convenient streetlight steps out of the shade
Says something like you and me babe how about it ?

samedi 18 avril 2009

mercredi 11 février 2009

mens moi!


Chérie s’il te plaît mens moi!
Dis-moi que t’as changé d’avis par conviction
Donne-moi mille et une excuses même s’ils ne tiennent pas la route
Fais-moi écouter toute la foutaise du monde
Mais ne me dis plus jamais que l’opinion des autres est meilleure de ce que je peux décider avec toi.
Ou que leur point de vue est plus important que le notre.
Car dans ce cas tu ne me seras plus d’aucune utilité.

Ma confiance en toi s'estompra,

Et c’est avec eux que je préférerai continuer ma vie!