samedi 27 décembre 2008

La gaffe


Hier, nous étions à la fête de fin d’année de notre société. C’est un moment que tout le monde attendait les pieds fermes. C’est une occasion de boire à gogo et de s’amuser à fond. En ce qui me concerne, j’étais très septique à l’égard de cet événement. En effet, si on revient quelques semaines plutôt, je partagerai le même enthousiasme que tout le monde. J’étais un électron libre sans attachement spécial. Je cherchais à passer le temps et a échapper l’ennuie peu importe le prix.
Mais maintenant les choses ont change. Il y’a un locataire dans mon cœur. Et puis j’espère qu’un jour viendra ou je partagerai ma vie avec elle. Bon, il est vrai qu’elle est loin, même très loin de moi. Mais je pense a elle tout le temps, et j’aimerai bien entretenir cet amour et le protéger des maladies tueuses, comme l’infidélité et le mensonge.
Mais bon, ce qu’il le faut, il le faut. Je ne pourrai pas manquer ce rendez-vous pour des raisons professionnelles.
La soirée a commencé assez timidement. Il y avait de nourriture à en avoir assez. Et puis les boissons étaient gratuites. J’ai essaye de commander une bière sans alcool comme d’habitude. Mais, on m’a dit qu’il n’y avait que de la corona.
Alors, j’ai commencé à deconner. Au début j’ai posé la question à mais amis s’il s’agissait d’une boisson forte, malgré que je savais exactement son taux d’alcool. Puis je me suis commandé une.
Apres avoir bu un toast avec des amis, j’ai feins en disant que cette bière était trop forte pour moi et que j’allais commande du jus de pomme. Mais, j’ai continué quand même à en boire.
Puis un ami m’a fait gouter de la vermounth en me disant que ce n’est pas fort comme boisson. Je lui ai fait remarquer après qu’elle était très forte aussi pour moi. Et je me suis commande un cocktail non alcoolisé.
Apres c’est ma nature d’homme qui a pris le dessus, et j’ai commencé à boire de la vermounth verre après verre.
Ca ma fait relaxer certes. Je suis devenu plus cool d’une certaine façon. Mais une douleur a commencé à me ronger de l’intérieur.
Avec chaque verre que je renversais, une voix intérieure criait d’insulte et de moquerie envers moi. Je me suis senti pour la première fois de puis plus que 4 ans, faible, tres tres faible.
Pendant ces quartes dernières années, je suis revenue à la prière. J’ai complètement arrêté de boire. J’ai même arrêté de fumer. J’ai évité aussi au maximum les relations non réglementaires. Et bien que je ne fusse pas tres parfait, je sentais une paix intérieure et je me sentais prêt à rencontrer dieu a tout moment.
Mais, la je ne sais pas qu’est ce qui s’est passé hier.
Est ce que je commence à aimer la vie plus qu’avant? Et si c’est le cas, pourquoi aimer la vie rime t’il avec faiblesse et déraillement?
Pourquoi cet amour qui devrait me donner la force est-il entrain de faire trembler mes principes? Et puis, est ce que c’est lui le responsable, ou peut être que le vrai responsable ici est moi même, ou un autre tracas bien enfui au fond de moi?
Ce soir je serai à une autre fiesta. Est ce que je resterai cool, ou bien je déraperai une deuxième fois.
Et puis la plus grande question, est ce que dieu accepterai de me pardonner cette gaffe. Et est ce qu’il m’aidera t’il a reprendre le droit chemin?
De toute façon, c’est ce que j’espère de tout mon cœur!
Pardonner moi mon dieu! J’ai gaffé.

vendredi 26 décembre 2008

Human


I did my best to notice

When the call came down the line

Up to the platform of surrender

I was brought but

I was kindAnd sometimes

I get nervous

When I see an open door

Close your eyes, clear your heart

Cut the cord

Are we human or are we dancer?

My sign is vital, my hands are cold

And I'm on my knees looking for the answer

Are we human or are we dancer?

Pay my respects to grace and virtue

Send my condolences to good

Hear my regards to soul and romance

They always did the best they could

And so long to devotion

You taught me everything

I knowWave goodbye, wish me well

You've gotta let me go

Are we human or are we dancer?

My sign is vital, my hands are cold

And I'm on my knees looking for the answer

Are we human or are we dancer?

Will your system be alright

When you dream of home tonight

There is no message we're receiving

Let me know, is your heart still beating?

Are we human or are we dancer?

My sign is vital, my hands are cold

And I'm on my knees looking for the answer

Are we human or are we dancer?

You've gotta let me know

Are we human or are we dancer?

My sign is vital, my hands are cold

And I'm on my knees looking for the answer

Are we human or are we dancer?

mardi 23 décembre 2008

Prologue


Je marche dans ce foret, celui de mes sentiments vécus.
Je touche le feuillage des arbres, qui ont porté le poids lourd de mes valeurs.
Je respire le parfum des fleurs exotiques, qui ont peuplé mon cœur tout le long de mon périple de vie.
J’aime les fleurs, mais j’ai toujours préféré les roses, qui sont à l’image de l’amour, belles à avoir mais douloureuses à tenir.
J’avance comme un perdu, même si je sais ou j’y vais.
Mais pats me porteront surement vers un grand rocher noir, sous lequel s’arrêtera mon foret.
La mort est une obligation que je ne peux ignorer, malgré tout le gâchis qui l’accompagne.
C’est pourquoi, j’essayerai de mettre sur ce blog un peu de mon foret, de ce jardin que j’ai cultivé.
J’espérerai que des âmes perdues puissent s’abriter un jour et le temps d’averses sous mes arbres.
Je serai honoré de partager mes fleurs avec toutes personnes qui voudraient les apprécier.
Et que mes roses soient cueillis par des amoureux et peu importe s’ils les jettent âpres.
Soyez le bien venu dans mon jardin, mais essayer de ne pas juger le jardinier.
Car même s’il est le responsable de tout désordre et de toute fausse note.
Il l’a généralement fait par bonne foie, et j’espère sans beaucoup de regret.

dimanche 21 décembre 2008

Une bagarre avortée,

Hier soir, j’ai étais avec des amis dans un bar assez bien fréquenté. C’était un endroit très cosy et très fréquenté pendant les weekends à Almaty.
Il y’avait une musique très agréable, et le service était très correct. Nous nous sommes mis à flâner entre différent sujets de conversation.
Seulement, un jeune homme de race kazakh s’est retourné vers notre table et a engagé la conversation. Je n’ai pas réalise au début qu’il était ivre mort.
Il avait apparemment un handicap au niveau des jambes. C’est pourquoi il avait des cannes à porté de mains.
Il avait un jeune allemand avec lui de grande taille et ayant des larges épaules.
Il était clair que les deux étaient des jeunes cadres dans une multinationale ou autre. Je pouvais deviner aussi qu’ils gagnaient suffisamment d’argent pour êtres des habituer de cette endroit.
Au début, nous avons échangé des banalités. J’ai essaye d’être le plus sympas et le plus courtois que possible, mais mon ton a vite change quand j’ai remarquait que l’handicapé essayait de tripoter une des filles.
J’ai lui ai demandé alors de se retourner et de nous laisser tranquille, et ceci avec un ton aimable et courtois. Mais, ivre comme il était, il n’a pas branché, et m’a complètement ignoré. J’ai alors lèvé le ton, et demandé à son ami d’intervenir. Mais, bien qu’il ait demandé pardon, il a poursuivi quand même ses agissements. Son ami quand à lui, à adopter un ton agressive et intimidant . Les filles se sont alors mis debout et ont changé de table. Alors que la discussion entre moi et l’allemand commençait à tourner au vinaigre.
Les filles m’ont prié alors de laisser tomber et des les rejoindre. C’est ce que j’ai fais tout en tremblant de rage. Les filles m’ont dit que j’en faisais trop pour un aussi banal accident d’autant plus que mon adversaire n’est plus qu’un handicapé ivre.
Seulement, le con s’est obstiné et a rejoint la fille et a voulu l’embrasser. Je l’ai alors poussé non sans un peu de violence. Heureusement pour moi, son ami n’était pas la à cet instant. La sécurité a intervenu, et a prié l’handicapé de nous éviter. C’est ce qu’il a fait et a commencé a importuné des filles qui se sont assises à notre ancienne place.
Mais, bien que la situation se soit plus ou moins détendue je n’ai pas arrêté de trembler de rage. Je sentais que c’est mon honneur d’homme qui s’est fait briser et traiter comme de papier Q.
J’ai sentais qu’il fallait que je frappe des le début et que j’évacue dés le début ce poison appelé fierté et honneur. Bien sur je sais que si je me suis engagé dans une bagarre, j’aurais des graves problèmes. Frapper une personne handicape, faire des troubles dans un endroit public, peut être même destruction de bien, et coup et blessure. Un autre risque à prendre en considération, est qu’en Kazakhstan, les locaux s’entraident énormément, et qu'ils y a plein de correompus en puissance. D’ou un risque réel de se faire baiser a fond, surtout que je n’ai pas des amis super-influent et ayant les couilles solides a Almaty.
Mais, jusqu’a maintenant, et même en tapant c’est mots, cette rage sombre est entrain de bruler à l’intérieure de moi en me disant “frapper avant, réfléchir âpres”.
Ce poison héréditaire qui s’appelle vendetta. Un mode de vie et toute une culture tunisienne, ou l’honneur d’un homme prime sur sa propre vie et sur son futur.
Ok je suis maintenant en sécurité sans problèmes, mais je réalise ma faiblesseque.


Oh vendetta qui hurle au fond de moi, calme toi.

J’ai envie maintenant de faire un problème avec n’importe qui. J’ai des envi de bagarre, de vandalisme, de rapt et de destruction.
J’ai besoin de rencontrer cet handicape ou bien son ami et de leur foutre mon poing dans la gueule, de les frapper avec n’importe quoi qui t’ombrait entre mes mains.
Mais tout ca n’est que rêve, et surtout c’est une preuve de faiblesse et d’un complexe inné qui me ronge de l’intérieure.

Calme-toi Mounir, calme-toi Mounir!