dimanche 21 décembre 2008

Une bagarre avortée,

Hier soir, j’ai étais avec des amis dans un bar assez bien fréquenté. C’était un endroit très cosy et très fréquenté pendant les weekends à Almaty.
Il y’avait une musique très agréable, et le service était très correct. Nous nous sommes mis à flâner entre différent sujets de conversation.
Seulement, un jeune homme de race kazakh s’est retourné vers notre table et a engagé la conversation. Je n’ai pas réalise au début qu’il était ivre mort.
Il avait apparemment un handicap au niveau des jambes. C’est pourquoi il avait des cannes à porté de mains.
Il avait un jeune allemand avec lui de grande taille et ayant des larges épaules.
Il était clair que les deux étaient des jeunes cadres dans une multinationale ou autre. Je pouvais deviner aussi qu’ils gagnaient suffisamment d’argent pour êtres des habituer de cette endroit.
Au début, nous avons échangé des banalités. J’ai essaye d’être le plus sympas et le plus courtois que possible, mais mon ton a vite change quand j’ai remarquait que l’handicapé essayait de tripoter une des filles.
J’ai lui ai demandé alors de se retourner et de nous laisser tranquille, et ceci avec un ton aimable et courtois. Mais, ivre comme il était, il n’a pas branché, et m’a complètement ignoré. J’ai alors lèvé le ton, et demandé à son ami d’intervenir. Mais, bien qu’il ait demandé pardon, il a poursuivi quand même ses agissements. Son ami quand à lui, à adopter un ton agressive et intimidant . Les filles se sont alors mis debout et ont changé de table. Alors que la discussion entre moi et l’allemand commençait à tourner au vinaigre.
Les filles m’ont prié alors de laisser tomber et des les rejoindre. C’est ce que j’ai fais tout en tremblant de rage. Les filles m’ont dit que j’en faisais trop pour un aussi banal accident d’autant plus que mon adversaire n’est plus qu’un handicapé ivre.
Seulement, le con s’est obstiné et a rejoint la fille et a voulu l’embrasser. Je l’ai alors poussé non sans un peu de violence. Heureusement pour moi, son ami n’était pas la à cet instant. La sécurité a intervenu, et a prié l’handicapé de nous éviter. C’est ce qu’il a fait et a commencé a importuné des filles qui se sont assises à notre ancienne place.
Mais, bien que la situation se soit plus ou moins détendue je n’ai pas arrêté de trembler de rage. Je sentais que c’est mon honneur d’homme qui s’est fait briser et traiter comme de papier Q.
J’ai sentais qu’il fallait que je frappe des le début et que j’évacue dés le début ce poison appelé fierté et honneur. Bien sur je sais que si je me suis engagé dans une bagarre, j’aurais des graves problèmes. Frapper une personne handicape, faire des troubles dans un endroit public, peut être même destruction de bien, et coup et blessure. Un autre risque à prendre en considération, est qu’en Kazakhstan, les locaux s’entraident énormément, et qu'ils y a plein de correompus en puissance. D’ou un risque réel de se faire baiser a fond, surtout que je n’ai pas des amis super-influent et ayant les couilles solides a Almaty.
Mais, jusqu’a maintenant, et même en tapant c’est mots, cette rage sombre est entrain de bruler à l’intérieure de moi en me disant “frapper avant, réfléchir âpres”.
Ce poison héréditaire qui s’appelle vendetta. Un mode de vie et toute une culture tunisienne, ou l’honneur d’un homme prime sur sa propre vie et sur son futur.
Ok je suis maintenant en sécurité sans problèmes, mais je réalise ma faiblesseque.


Oh vendetta qui hurle au fond de moi, calme toi.

J’ai envie maintenant de faire un problème avec n’importe qui. J’ai des envi de bagarre, de vandalisme, de rapt et de destruction.
J’ai besoin de rencontrer cet handicape ou bien son ami et de leur foutre mon poing dans la gueule, de les frapper avec n’importe quoi qui t’ombrait entre mes mains.
Mais tout ca n’est que rêve, et surtout c’est une preuve de faiblesse et d’un complexe inné qui me ronge de l’intérieure.

Calme-toi Mounir, calme-toi Mounir!

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